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Une anecdote lumineuse

Au XVIIᵉ siècle, on racontait qu’une bougie de cire d’abeille d’exception « parlait » tant sa flamme bancaire et longue durait : elle éclipsait les chandelles de suif et alimentait les commérages des salons. Aujourd’hui encore, ce conte rappelle qu’un rituel réussi commence par le choix d’une bougie de qualité… et non par les potins.

Maison Lumoréa

6/25/20251 min read

La bougie bavarde..

Au XVIIᵉ siècle, on disait qu’une bougie trop chère « parlait » : chaque soirée mondaine, la chandelle de cire d’abeille tenait plus longtemps que prévu, faisant pâlir de jalousie ses voisines en suif… et alimentant les potins ! On murmurait qu’elle racontait en secret les ragots du château tant sa mèche restait droite et fière.

Moralité : pour des rituels paisibles, choisissez des bougies de qualité… pas de commérages.